Le FMI et l’or des Algériens!

Cet article reprend quelques détails qui expliquent la raison pour laquelle l’Algérie est dans le collimateur de l’Empire, mais je doute que les Algériens ou du moins leurs responsables politiques soient conscients de ces faits  …. !!!

Mehdi BOUABID

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Gold Run

IRIB- Au moment où le château de cartes européen continuait de s’effondrer, la Directrice générale du FMI, Christine Lagarde, effectuait une visite, en Algérie.

Lors de son séjour à Alger, la femme politique française la mieux payée a déclaré ceci : «Ces derniers jours m’ont permis de mieux comprendre les aspirations de l’Algérie, ainsi que les défis qu’elle devra relever afin que l’avenir tienne ses promesses». Le jeudi 14 mars 2013, la première responsable du Fond Mondial International a dit aux Algériens : «Le FMI est profondément attaché à l’Algérie. Nous sommes votre ami, votre partenaire». Apparemment, le FMI est plus qu’attaché à l’Algérie, bien que les Algériens aient payé leur dette, il ne veut pas les laisser en paix.

À propos du réel motif de la visite de Christine Lagarde à Alger, certains observateurs soutiennent qu’elle est venue faire pression sur le gouvernement algérien pour qu’il dépose davantage d’or dans les coffres du FMI. Officiellement, la Banque d’Algérie détient 1.736 tonnes d’or, comme réserves. Mais il faut savoir que la charte du FMI exige qu’une partie des quotes-parts des pays membres soit réglée en or. D’après les documents officiels du FMI, le 15 décembre 2010, le Conseil des gouverneurs, l’organe de décision suprême du Fonds Mondial International, a approuvé une augmentation sans précédent équivalente à 100 % du total des quotes-parts.

Il est important de savoir que depuis la crise financière de 2008, l’or constitue un avoir de réserve de premier plan pour de nombreuses banques centrales. Les États n’ont plus confiance ni dans le dollar ni dans l’euro. En effet, le dollar ne vaut même pas l’encre qui a servi pour écrire sa valeur nominale, car il n’est pas étalonné sur l’or. Il suffit à la FED (Réserve fédérale américaine) de se procurer de l’encre et des imprimantes, pour produire des billets verts. Pour autant, la monnaie européenne n’est pas plus solide que le dollar. L’euro n’est étalonné sur aucun bien tangible et l’économie européenne n’est pas plus rigoureuse que celle des États-Unis.

Vu la configuration de l’économie mondiale, les économistes les plus avisés soutiennent que la dette américaine et celle des pays européens en faillite ne sera jamais remboursée ni en dollar ni en euro. C’est la force de l’OTAN, du FMI et de l’OMC qui impose le système financier actuel. Un nouveau système doit être installé en urgence pour remettre les compteurs à zéro. Sûrement, personne ne pourra obliger les Américains à payer leur dette. Dans le meilleur des cas, ils payeront un dollar symbolique. Cela arrivera, très probablement, après l’installation de l’union transatlantique, union entre les pays de l’Amérique du Nord et l’Union européenne, prévue, aux alentours de la mi-2014.

L’année 2012 a été l’année de la ruée vers l’or. Selon la GFMS, société de recherches spécialisée sur les métaux précieux, les banques centrales ont acheté plus d’or, en 2012, qu’elles ne l’avaient fait, pendant les cinquante dernières années. Il ne faut surtout pas se sentir satisfait de la 24e place occupée par l’Algérie, dans le classement des pays détenant les plus importantes réserves d’or, car elle reste très loin derrière les États-Unis (8133,5 tonnes), l’Allemagne (3391,3 tonnes), l’Italie (2451,8 tonnes), la France (2435,4 tonnes) et la Suisse (1040,1 tonnes).

Le métal jaune possède tous les atouts pour être considéré comme le standard de payement universel. D’après le professeur Antal Fekete, auteur du livre «Le retour au standard or» paru aux éditionsLe jardin des livresen 2011, ce qui rend l’or précieux n’est pas sa rareté, mais justement son abondance relative qui justifie la superbe confiance dans la stabilité de sa valeur, et qui ne sera pas diminuée par une année de production minière forte, ni augmentée par un fort retrait de la circulation de pièce d’or. Mais les mondialistes ne veulent surtout pas que les gens considèrent l’or comme une valeur refuge, le dollar et l’euro doivent à tout prix rester des monnaies fortes. Au cours des années 1990, le FMI a poussé quelques pays comme ceux de l’ex-Union Soviétique à vendre leur or. Après l’invasion de l’Irak, on a parlé de tout sauf de l’or des Irakiens. La même chose s’est répétée, en Libye.

Le vol de l’or a toujours été le motif caché de la guerre. Gardons à l’esprit qu’en 1830, la France a mobilisé 104 navires de guerre et 535 navires de commerce pour faire main basse sur le trésor de la Régence d’Alger. La finance internationale représentée par les Bacri (chefs de la communauté juive d’Algérie) et les Rothschild (chefs de la communauté juive de France), ainsi que la presse écrite française représentée par le journal d’oppositionLe Nationalfondé par Talleyrand, ministre français des Affaires étrangères, entre 1814 et 1815, ont joué un rôle très important, dans la conquête de l’Algérie.

Finalement, tous les moyens sont bons pour mettre un État à genoux : terrorisme, régionalisme, corruption, opium, fausse monnaie, vol de l’or… À l’heure actuelle, les mondialistes ne sont pas prêts à laisser les Algériens vivre en paix. Rester unis et vigilants est le seul moyen de faire face à ces suceurs de sang.

Source : http://french.irib.ir/info/afrique2/item/249664-le-fmi-et-l%E2%80%99or-des-alg%C3%A9riens

Les secrets de la Réserve Fédérale Américaine – Diktacratie

Les secrets de la Réserve Fédérale Américaine

PAR 

Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois. »

Cette phrase attribuée à Mayer Amschel Bauer montre toute l’ambition oligarchique de la Banque. Ce Bauer, plus connu sous le nom de ses armoiries rouges : Rothschild, avait dès 1773 le projet de remplacer l’aristocratie européenne par un nouvel ordre mondial financier. Au XIXème siècle la Maison Rothschildcontrôlait la moitié de la fortune planétaire. En 1910, affiliées de près ou de loin avec les plus grandes puissances bancaires de l’époque : J.P. Morgan Company, Brown brothers Harriman, M.M. Warburg & Co.,Kuhn-Loeb et J.Henry Schroder, elle pouvait prétendre façonner en coulisse, derrière les trônes et selon sesintérêts, le sens de l’Histoire.

Le pouvoir d’émettre de la monnaie confère tous les pouvoirs.

Et non l’inverse : ce n’est pas, comme il se devrait, l’Etat ou le roi qui décide de la création monétaire en fonction des besoins économiques du pays. Les grands banquiers, tous issus du commerce et trafic international  (chemins de fer, mercerie, cuivre, esclaves, diamants…), ont vite compris que pour augmenter la masse monétaire, -autrement dit pour continuer à s’enrichir en tirant avantage des surplus ou excédents de l’argent en circulation-, il fallait l’étalonner sur l’or. Ce métal précieux demeure une valeur stable, échangeable etuniverselle. Le cours des monnaies s’est ainsi internationalisé – premier pas dans la mondialisation- en se régulant par la mise en place de taux favorables.

Nos grands banquiers prétendaient alors apporter une stabilité économique à leurs nations par une réglementation des échanges d’argent… Ils limitaient surtout le flux sortant d’or afin d’en maintenir desréserves importantes dans des banques centralisées, qui pouvaient en dernier recours refinancer les banques en difficulté de leurs pays respectifs et ainsi éviter crises et faillites !

Mais ne nous leurrons plus : quiconque contrôle la masse monétaire contrôle les entreprises et les activités du peuple, et c’est là le réel intérêt des banques centrales. Elles s’organisent donc pour faire du profitet ce, indépendamment de toute institution et bonne volonté gouvernementale.

L’objectif premier de ces richissimes oligarques est l’obtention d’un pouvoir suprême par la création de dettes intarissables. Pourquoi dit-on que «la fortune des Rothschild consiste en la banqueroute des nations»? L’incroyable livre d’Eustace Mullins, Les Secrets De La Réserve Fédérale, nous dévoile cela de façon alarmante.

La FED

Au début du XXème siècle de puissants groupes bancaires majoritairement européens ont échafaudé aux Etats-Unis, alors seuls dépourvus de banque centrale, une législation monétaire dans l’intérêt des grandes entreprises et fortunes, ainsi qu’une administration adéquate – et dont le public ignorerait tout!

En cet automne 1910, une poignée d’homme vont décider du sort de l’Amérique en particulier et du Monde en général via la mise en place d’une Réserve Fédérale qui ne sera de fait qu’une banque centrale. Une banque centrale censée combattre les monopoles financiers par…un monopole financier!

Il aura fallu 3 ans et l’élection du président-pantin Wilson pour promulguer officiellement la Loi de la Réserve Fédérale et attribuer ainsi tout pouvoir à une banque par le contrôle privé de la monnaie en lieu et place du contrôle public. Ou comment voler au peuple le pouvoir de battre monnaie et d’en réguler la valeur.

Le cerveau de ce projet: le Baron Alfred Rothschild – petit fils de Mayer Amschel et directeur de la Banque d’Angleterre. Le principal instigateur et bénéficiaire: Paul Warburg. Sans ce dernier, envoyé de la maison bancaire allemande Kuhn, Loeb & Co., il n’y aurait pas eu cette Loi supérieure aux lois de l’Etat. Ajoutez les Lazard Frères, Lehman Brothers, Goldman Sachs, la famille Rockefeller et celle de J.P. Morgan commeactionnaires privés et cardinaux (et non fédéraux comme le sous entend la dénomination de cette banque), et vous comprendrez comment depuis 1914 les destinées politiques et économiques des américains sont dirigées. Vous comprendrez surtout comment les guerres, les révolutions, les crises et les dictatures dans le Monde sont commanditées par une poignée de financiers amoraux et apatrides.

Une oligarchie qui ne peut rien prévoir mais tout provoquer.

 

La première grosse mobilisation de crédit de la Réserve Fédérale Américaine (fondée sur l’impôt  sur le revenu alors créé) fut pour financer la Première Guerre Mondiale. La FED a dépensé l’argent du contribuable américain au rythme de dix milliards de dollars par an pour que la guerre perdure alors que les pays belligérants, englués dans une boucherie insensée, recherchaient la paix dès 1916…

Pourquoi le président Wilson leva l’embargo sur le transport des armes vers le Mexique en pleine décade révolutionnaire ?

Pourquoi les financiers de la Réserve Fédérale ont-ils apporté des fonds à Lénine et Trotski si ce n’est pourrenverser le régime tsariste tout en maintenant la Russie dans la Première Guerre Mondiale.

Pourquoi cette crise agricole américaine de 1920 à 1921 si ce n’est pour se rembourser d’agriculteurs tropindépendants, dans l’Ouest du pays, qui refusèrent de dilapider leur argent dans les spéculations sibyllines d’une Banque trop lointaine.

Pourquoi les principaux actionnaires de la Réserve Fédérale, alors opportunément tous éclipsés du Marché dès février 1929, ont-ils laissé la population et le pays se kracher dans une Dépression mémorable ?

Quelles étaient les réelles ambitions de Gordon Richardson, banquier le plus influent du monde de 1973 à 1983 et alors patron de la Banque d’Angleterre ? N’était-il pas avant le président de la J. Henry Schroder Company of New York (l’un des autres actionnaires de la Réserve Fédérale) de 1962 à 1973 ? Et ne parlons-nous pas ici de cette banque, la Schroder donc, qui approvisionna  l’Allemagne de 1915 à 1918, finança Hitler et rendit possible la Deuxième Guerre Mondiale, favorisa l’élection du président américain Herbert Hoover quelques mois avant la crise de 1929 (et pour laquelle ce dernier resta étrangement inactif) ? Cette même banque, qui associé à Rockfeller dès 1936, mandata au début des années 80 deux secrétaires très influents de l’administration Reagan : Schultz à l’Etat et Weinberger à la Défense.

De telles connexions ne peuvent que nous interpeler. Mais il semblerait, encore une fois, que l’ivresse démocratique corrompe notre raison au point que nous laissons faire sans réagir les caprices oligarchiquesd’un empire au masque trop charitable…

Source : http://diktacratie.com/les-secrets-de-la-reserve-federale-americaine/

Fed